Chanson réalisé pour le cyclone IRMA par les chanteurs Cubains Raúl Torres, Tony Ávila y Ray Fernñandez.
» le moment et venue de prouvez comment on t’aime »
Comme une mère blessée, fouettée par le vent
Je t’ai vue soigner tes blessures, presque sans briser le silence
Tes enfants qui n’ont pas dormi reconstruisent ton sourire
Pour que revienne vite la fleur qui t’habite à l’intérieur.
Comme étoile surprise par la cruauté des vents
Tu fais face à la vie même quand la vie fait mal
On raconte que les ouragans sont des anges du mystère
Il coûtent souvent des vies, mais ils unissent les peuples
Ah Cuba, morceau de soi que où que l’on aille, on porte à l’intérieur
Que le doute ne t’effleure pas, nous ne t’abandonnerons jamais
Ah Cuba, tes enfants transpirent, en te récupérant le ciel
Le moment est arrivé de démontrer combien nous t’aimons
Comme une grande pyramide, je te vois regardant au loin ?
Ma rêveuse mordue, acculée et sans peur
Je t’ai vue abritant les enfants, je t’ai vue ! protégeant tes vieux
Comme une mère offensée par la cruauté du mauvais temps.
Ah Cuba, morceau de soi que, où que l’on aille, on porte à l’intérieur
Que le doute ne t’effleure pas, nous ne t’abandonnerons jamais
Ah Cuba, tes enfants transpirent, en te récupérant le ciel
Le moment est arrivé de démontrer combien nous t’aimons
Comment peut-on frapper d’embargo tant de bonté avec une fable ?
Comment faire blocus à la vérité qui fait naître les rêves
Ceux que tu tentes d’asphyxier ressentent depuis des décennies combien il peut être cruel d’essayer d’étrangler un peuple
Ah Cuba, morceau de soi que, où que l’on aille, on porte à l’intérieur
Que le doute ne t’effleure pas, nous ne t’abandonnerons jamais
Ah Cuba, tes enfants transpirent, en te récupérant le ciel
Le moment est arrivé de démontrer combien nous t’aimons
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